mercredi 23 mai 2012

La mondialisation est un phénomène planétaire, et plus souvent liée a l’économie mondiale.
C'est une aubaine pour certaines multinationales ou firmes de grande échelle qui profitent de ce système pour s'enrichir.
Toutefois la mondialisation se trouve dans l’échange interculturel des civilisations. C'est par exemple grâce au cinéma que beaucoup de flux culturels circulent à travers le monde.

Dans notre blog nous traitons de la mondialisations et ces échanges à travers l'industrie du cinéma, plus précisément la problématiques suivante :  Comment le cinéma reflète-t-il la mondialisation ?

Pour cela nous décomposerons le blog en 2 parties :

  1. Le monopole de l’industrie cinématographique américaine dans le monde.
  2. Les maux de la mondialisation interprétés au cinéma.

lundi 21 mai 2012

La domination Hollywoodienne dans le monde


Grâce à son cinéma, Hollywood cherche à faire une rentabilité maximum. La production cinématographique Américaine est très importante et surtout dominatrice sur le monde entier.
Plus l’on distribue de copies du film, et plus l’investissement risque d’être rentable. Les marchés étrangers ont donc toujours fait partie de la stratégie des firmes hollywoodiennes, et ce depuis le tout début de leurs activités il y a un siècle. Mais ce flux d’exportation des biens cinématographiques a décollé et la présence d’Hollywood est aujourd’hui virtuellement ressentie dans tous les pays du monde. L’export des films à l’étranger est plus que jamais un élément incontournable de compétitivité mondiale, représentant depuis une trentaine d’année entre 40 % et la moitié des revenus des grands studios.
Aux États-Unis, l'industrie cinématographie a un équilibre commercial positif (ce qui est assez rare dans d'autres pays). C'est-à-dire qu'ils exportent plus de produits qu’ils n’en importent, et ce dans tous les pays où ils sont présents.

En 2001, Hollywood détenait 80 % des parts de marché du film au niveau international, et 70 % pour les programmes télévisés.


Mais le cinéma indien fait face. Bollywood tient tête à Hollywood dans son propre pays avec plus de 800 films produits par an. De plus, le cinéma français est lui aussi assez puissant avec une production de films qui est la plus élevée d'Europe.

Le cinéma Américain face aux autres pays








Nous voyons clairement l'impérialisme Hollywoodien face à d'autres pays.





Pays
Nombre de films produits (en 2000)
Part de l’industrie cinématographique nationale
Part de l’industrie cinématographique américaine
Allemagne
75
12.5 %
81.9 %
Australie
31
8.0 %
87.5 %
Espagne
98
10.1 %
81.7 %
Etats-Unis
460
96.1 %
-
France
204
28.9 %
58.3 %
Italie
103
17.5 %
69.5 %
Japon
282
31.8 %
64.8 %
Royaume-Uni
90
19.6 %
75.3 %



Le cinéma Américain est dominant en tous points. 460 films produits en 2000, c'est un record inégalable pour les autres pays. En deuxième position, la France a produit 204 films.
Chaque pays a sa part de films diffusés mais on remarque tout de site la part de films Américains qui dépassent facilement les 50% dans chaque pays.

The constant Gardener

The Constant Gardener ( La Constance du jardinier en Belgique et au Québec) est un film britannique réalisé par Fernando Meirelles, sorti le 31 août 2005. Il est adapté du roman de John Le Carré traduit en français sous le nom La Constance du jardinier, publié à la fin de l'année 2000. Le diplomate britannique Justin Quayle (Ralph Fiennes) vit au Kenya avec sa femme Tessa (Rachel Weisz), militante altermondialiste. Celle-ci est en relation avec Hippo, une ONG allemande enquêtant sur les pratiques de l'industrie pharmaceutique, et prépare pour elle un rapport sur KDH et ThreeBees, deux entreprises impliqués dans la lutte contre le Sida au Kenya. Un jour, Tessa est retrouvée assassinée dans la brousse avec son collègue Arnold (Hubert Koundé), un humanitaire Noir belge de l'ONG Médecins de la Terre. Secoué par les rumeurs d'infidélités de sa femme, Justin est poussé à découvrir les circonstances réelles entourant cet assassinat.

Voici un film qui mérite réflexion sur la mondialisation en Afrique. Parmi l'histoire romanesque de ce film une mobilisation de l'auteur et du réalisateur ont été nécessaire pour dénoncer la mondialisation qui se cache derrière des problèmes bien réel. En effet dans ce film tiré d'un livre, le réalisateur nous plonge dans un atmosphère d'une Afrique profonde. une industrie pharmaceutique s'installe dans ce pays pour des raisons de faibles coups financier, et profite de la population locale comme cobaye. Ce problème et bien réel et n'est pas unique. Dans ce film la mondialisation nous est montré comme un phénomène néfaste pour la civilisation africaine.
Quels sont les conséquences de l'implantation de l’industrie pharmaceutique au Kenya ?
Quels est l'avenir de cette industrie ? des population alentours ?
Quelles sont les limites de cette mondialisation ?
 

Avatar

Malgré sa paralysie, Jake Sully, un ancien marine immobilisé dans un fauteuil roulant, est resté un combattant au plus profond de son être. Il est recruté pour se rendre à des années-lumière de la Terre, sur Pandora, où de puissants groupes industriels exploitent un minerai rarissime destiné à résoudre la crise énergétique sur Terre. Parce que l'atmosphère de Pandora est toxique pour les humains, ceux-ci ont créé le Programme Avatar, qui permet à des '' pilotes '' humains de lier leur esprit à un avatar, un corps biologique commandé à distance, capable de survivre dans cette atmosphère létale. Ces avatars sont des hybrides créés génétiquement en croisant l'ADN humain avec celui des Na'vi, les autochtones de Pandora.Sous sa forme d'avatar, Jake peut de nouveau marcher. On lui confie une mission d'infiltration auprès des Na'vi, devenus un obstacle trop conséquent à l'exploitation du précieux minerai. Mais tout va changer lorsque Neytiri, une très belle Na'vi, sauve la vie de Jake...

Le film est sortie dans toute les salles du monde, sans soulever de probleme majeure. Toute fois quelques jours après des journaux de renommé mondiale, Par exemple le journal "Le Monde" a publié un article fesant appelle a James Cameron dénoncer un scenario similaire a celui du film avec la tribut de Dongria Kondh. la tribut étant en voit de détresse puisque des industrie minière délocalise des tribut de leur colline religieuse pour des extraction métaux.